Jeunesse - Déplacement de Gabriel Attal, secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Education nationale et de la Jeunesse à Tourcoing

Mis à jour le 03/12/2018

Gabriel Attal, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Éducation nationale et la Jeunesse s'est rendu à Tourcoing, jeudi 29 novembre 2018, pour une journée dédiée à la mise en œuvre du Service national universel (SNU).

Suite à la remise du rapport relatif à la consultation sur le Service national universel, Gabriel Attal a poursuivi son dialogue engagé avec les jeunes et les acteurs de la jeunesse sur les modalités de sa mise en œuvre. Le secrétaire d'Etat s'est rendu, jeudi 29 novembre, au lycée professionnel Le Corbusier de Tourcoing afin de rencontrer l'équipe éducative et d'échanger avec les élèves et le monde associatif.

La visite a été ponctuée par une découverte du lycée et de ses activités avec le proviseur et un groupe de représentant d'élèves, en présence des chefs de pôle ayant mené les réflexions autour d'une possible phase pilote du SNU dans le département du Nord. Le ministre a pu échanger avec les représentants du monde associatif sur les attentes, les propositions et la promotion du SNU.

Le déplacement ministériel s'est conclu par un temps d'échange avec des volontaires ayant réalisé leur service civique et un groupe de lycées et d'internes autour de l'engagement. Gabriel Attal a souligné que la préfiguration du SNU serait mise en œuvre dans la deuxième quinzaine de juin 2019 avec plusieurs cohortes de jeunes, quelques milliers de personnes, réparties sur un peu plus d'une dizaine de départements. Il s'agit-là d'une phase basée sur le volontariat dont l'objectif est "l'élargissement des possibles" comme l'a indiqué Gabriel Attal : "La réalité, c'est qu'il y a des jeunesses, celles qui ont intégré la mondialisation, d'autres qui sont laissées sur le bord du chemin : il y a les jeunes urbains, les ruraux... On veut les réunir".

Le secrétaire d’État a souligné que le Nord était un "candidat sérieux" pour le lancement du SNU : "les élus locaux, les futurs acteurs, montrent un intérêt marqué. Ils y voient un outil de brassage, un moyen de lever les freins de l'engagement et de revitaliser les territoires".

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