Travailler sur les autres types d’accueil pour faciliter la sédentarisation

L’habitat adapté peine à se développer, malgré son vif intérêt porté par les gens du voyage en voie de « sédentarisation » et l’expérience concluante des unités réalisées à Anzin. Les raisons potentielles identifiées au faible accroissement seraient sa faible reconnaissance et son caractère non obligatoire. Il s’agit pourtant d’une réponse adaptée aux attentes des gens du voyage, l’habitat adapté permettant de libérer les places occupées sur les aires d’accueil. Il convient donc de promouvoir, voire de généraliser, en complément des aires d’accueil prescrites par le SDGV, ce type d’accueil et l’EPCI devra donc reprendre cet enjeu fort au niveau de son futur PLH (identification précise des besoins et inscription au sein d’un travail collectif).